29-03-22- Séminaire occitaniste ReSO – P. MARTEL, Écrire en Òc dans les Alpes ; Q. GARNIER, Parlar ès Anonai : l’occitan du Haut-Vivarais

le mardi 29 mars à 17h15  en salle 105 -site de la route de Mende-. En visio-conférence sur https://univ-montp3-fr.zoom.us/j/96677912485?pwd=SFlBRzU0NVVjeVRzS1hGYklaUkxpUT09.
ID de réunion : 966 7791 2485 – Code secret : 704837

 

Philippe MARTEL, Écrire en Òc dans les Alpes

On ne peut pas dire que la zone alpine occitanophone, versant français comme versant italien, soit connue pour la richesse de ses productions littéraires (quelle que soit d’ailleurs la langue concernée). En fait, si on excepte les textes vaudois médiévaux, fort peu d’œuvres et d’auteurs de cette zone apparaissent dans les divers manuels de littérature d’oc disponibles. Et pourtant, de tels auteurs existent, et il y a aussi des textes dépourvus certes de toute prétention littéraire mais qui n’en présentent pas moins un intérêt certain. Sans prétendre en faire l’inventaire complet, on essaiera de voir ce qui constitue le paysage de l’écrit d’oc alpin, tout en essayant de comprendre les conditions de sa production et celles de sa réception

 

Quentin GARNIER, Parlar ès Anonai : l’occitan du Haut-Vivarais

À l’exception de quelques communes les plus septentrionales, le nord du département de l’Ardèche entre Tournon et Annonay, s’inscrit dans l’espace occitanophone. Au delà d’une situation sociolinguistique actuelle très détériorée, nous essayerons de présenter les caractéristiques dialectales importantes de ce parler vivaro-alpin, ses traits diatopiques les plus marquants, et son articulation au sein du diasytème occitan. Nous regarderons aussi ce que peuvent nous apprendre les sources écrites dans cette région, qui se dispersent entre les XVe et XXe s., sur les évolutions diachroniques de la langue, anciennes ou plus récentes.

 

 

 

 

 

 

 

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